Père du roman moderne, il crée avec « Don Quichotte » une satire géniale de la chevalerie et de l'idéalisme.

Philologues allemands, ils collectent les contes populaires (« Blanche-Neige »), préservant le folklore germanique et l'imaginaire universel.

Dramaturge du cœur, il analyse avec finesse les naissances de l'amour et les jeux de masques (« Marivaudage »).

Satiriste irlandais génial, il critique l'humanité et la politique dans « Les Voyages de Gulliver ».

Père de « Dracula », il fixe le mythe du vampire aristocrate dans un roman gothique d'horreur, de sang et de modernité.

Spécialiste du conte cruel et de l'épouvante, il écrit pour le Grand-Guignol des histoires de tension morbide.

Poète des « Gueux », il scandalise par son argot et célèbre les vagabonds avec une verve truculente, rebelle et physique.

Écrivain pragois de l'absurde, il décrit l'individu écrasé par une bureaucratie oppressante et sans visage.

Auteur d'un unique roman culte, « Le Grand Meaulnes », il fixe à jamais la magie mystérieuse de l'adolescence.

Compagnon de Tocqueville en Amérique, il dénonce le racisme et l'esclavage dans son roman « Marie », partageant les idéaux libéraux de son ami.

Créateur de Sherlock Holmes, il érige la déduction logique et l'observation en art littéraire.

Romancière à succès sous l'Empire, elle fait pleurer l'Europe avec « Élisabeth ou les Exilés de Sibérie ».