Poète du terroir aveyronnais, instituteur, il chante la vie rurale, les bêtes et la nature avec une simplicité rustique et émouvante.

Dandy catholique et romancier du « Diabolique », il mêle dandysme, foi et satanisme dans une œuvre flamboyante.

Sommet de la tragédie classique, il peint la violence fatale des passions dans une langue d'une perfection absolue.

Rival de Dumas, ce romancier populaire excelle dans les récits de cape et d'épée pleins de panache et de duels, comme « Belle-Rose ».

Découvreur du Canada, ses récits sont les premiers à décrire le Saint-Laurent et ses peuples, ouvrant la voie à la présence française.

Père du roman moderne, il crée avec « Don Quichotte » une satire géniale de la chevalerie et de l'idéalisme.

Géant américain, auteur de « Moby Dick », il transforme la chasse à la baleine en une épopée métaphysique sur le mal et l'obsession.

Prince de la jeunesse et théoricien du nationalisme, il prône l'enracinement dans « la terre et les morts » avec un style musical et envoûtant.

Chef du Parnasse, il rejette le lyrisme personnel pour une poésie érudite et impassible, chantant la beauté antique et sauvage.

Poète maudit, il extrait la beauté du mal et du spleen urbain dans « Les Fleurs du mal », marquant la naissance de la poésie moderne.

Voix du socialisme, orateur puissant et pacifiste, il fonde « L'Humanité » et défend la justice sociale avant d'être assassiné en 1914.

Mère du roman psychologique, elle analyse le combat intérieur de la vertu contre la passion dans « La Princesse de Clèves », chef-d'œuvre pur.