Âme de la littérature russe fin de siècle, il peint la vie ordinaire et les illusions perdues avec une douce ironie dans ses nouvelles et son théâtre.

Rival de Dickens, il peint avec ironie l'arrivisme, la vanité et l'hypocrisie de la société anglaise.

Romancier du terroir, il chante la forêt et la vie provinciale avec une sensibilité douce, populaire et académicienne.

Historien et homme d'État, il célèbre la Révolution et l'Empire dans une œuvre historique nationale.

Philosophe de la nature (« Walden »), il prône la vie simple et la désobéissance civile, inspirant l'écologie.

Pamphlétaire républicain, son « Mon oncle Benjamin » est un hymne à la joie de vivre, à l'insolence et à la liberté de penser.

Romancière féministe à succès, elle explore la condition féminine et le conflit entre l'amour libre et le devoir social.

Romancier mondain, il décrit avec élégance les mœurs et les voyages de l'aristocratie et de la haute bourgeoisie conservatrice.

Patriarche de la littérature russe, il embrasse toute la vie d'un peuple dans « Guerre et Paix ».

Inventeur de la bande dessinée, cet écrivain suisse crée des « histoires en estampes » mêlant texte et image avec un humour génial.

Journaliste et écrivain du XIXe siècle, il laisse des souvenirs littéraires intéressants, témoignant de la vie culturelle de son époque.

Poète dandy et opiomane, il crée les « Contrerimes », forme ciselée mêlant ironie, fantaisie et mélancolie élégante.

Le plus européen des écrivains russes, il décrit le conflit des générations dans « Pères et Fils » avec un style mélancolique et musical.

Auteur préromantique, il explore la mélancolie, la passion sombre et la nature sauvage dans des drames annonçant le « mal du siècle ».

Géant du roman victorien, il décrit la vie du clergé et de la gentry avec un réalisme minutieux dans les « Chroniques du Barsetshire ».

Père du roman arthurien (« Lancelot »), il invente l'amour courtois et la quête du Graal.

Père de la littérature américaine moderne (« Tom Sawyer »), il use de l'humour et de la langue parlée pour critiquer le racisme et l'hypocrisie.

Stratège chinois millénaire, son « Art de la guerre » enseigne la ruse, l'espionnage et la victoire suprême sans combattre.