Pseudonyme d'un duo d'auteurs, ils écrivent des romans d'aventures maritimes et patriotiques exaltant le courage.

Penseur réaliste du pouvoir, il analyse la politique sans morale dans « Le Prince », prônant l'efficacité et la ruse pour le chef.

Prix Nobel belge, maître du théâtre symboliste (« Pelléas et Mélisande »), il explore l'invisible, le silence et la vie des insectes.

Auteur du « Voyage autour de ma chambre », il parodie le récit d'aventure en explorant son imaginaire sans quitter ses quatre murs.

Maître du symbolisme, il cherche à purifier la langue pour atteindre l'Idée pure, ouvrant la voie à la poésie moderne.

Auteur de « Sans famille », il émeut des générations avec les errances de l'enfant trouvé Rémi, tout en dénonçant la misère sociale.

Grand romancier allemand, il analyse la décadence bourgeoise et les tourments de l'esprit européen.

Nouvelliste de génie, elle capture des moments de vie fugaces et des émotions subtiles avec une sensibilité impressionniste moderne.

Romancier naturaliste, il décrit la société bourgeoise et militaire avec réalisme, signant le manifeste contre « La Terre » de Zola.

Dramaturge du cœur, il analyse avec finesse les naissances de l'amour et les jeux de masques (« Marivaudage »).

Poète de François Ier, il introduit le sonnet en France et marque la poésie de cour par son élégance badine et spirituelle.

Prix Nobel, il retrace le destin de deux familles avant 1914 dans « Les Thibault », alliant rigueur historique et humanisme.

Philosophe et économiste, il théorise la lutte des classes et le communisme dans « Le Capital », bouleversant l'histoire mondiale.

Maître du mélodrame populaire, il captive le public avec des intrigues poignantes d'erreurs judiciaires comme « Roger la Honte ».

Grand égyptologue, il dirige les antiquités égyptiennes et popularise l'histoire des pharaons tout en traduisant des contes anciens.

Maître de la nouvelle réaliste, il peint la vie avec une lucidité pessimiste et un style limpide, explorant aussi la folie.

Géant américain, auteur de « Moby Dick », il transforme la chasse à la baleine en une épopée métaphysique sur le mal et l'obsession.

Maître de la nouvelle réaliste (« Carmen »), il peint des passions violentes avec un style sec, tout en sauvant le patrimoine français.

Maître du fantastique ésotérique, il crée une atmosphère d'angoisse onirique dans le ghetto de Prague avec son roman « Le Golem ».

Historien libéral et ami de Thiers, il écrit une histoire fataliste de la Révolution française qui influence la pensée politique.

Poète épique aveugle, il dicte « Le Paradis perdu », poème grandiose sur la chute de Satan, et défend la liberté de la presse.

Orateur foudroyant de la Révolution, il domine l'Assemblée par son éloquence, tentant de concilier monarchie et liberté.

Anarchiste et critique d'art, il dénonce l'hypocrisie bourgeoise et la domesticité dans « Le Journal d'une femme de chambre ».

Prix Nobel et poète provençal, auteur de « Mireille », il consacre sa vie à la renaissance de la langue et de la culture d'oc.

Humoriste et chroniqueur judiciaire, père de Courteline, il croque les travers humains avec drôlerie dans « Les Tribunaux comiques ».

Génie comique absolu, il dénonce les vices éternels comme l'hypocrisie et l'avarice tout en faisant rire la cour.

Poète gastronome et chroniqueur parisien, le « roi des gourmets » incarne l'hédonisme spirituel et léger du Second Empire.

Inventeur de l'essai, il fait de son introspection la matière de son livre, prônant une sagesse souriante.

Roi du feuilleton populaire, il fait pleurer la France avec des mélodrames comme « La Porteuse de pain », classique du genre.

Père de la science politique, il théorise la séparation des pouvoirs dans « L'Esprit des lois » et critique les mœurs avec esprit.

Philosophe utopiste mystérieux, il théorise une société communiste sans propriété privée dans son « Code de la nature ».

Écrivain américain de suspense, il préfigure le Grand Guignol avec des nouvelles d'horreur et de tension psychologique intenses.

Auteur de science-fiction populaire, il imagine une civilisation antique avancée dans « La Fin d'Illa », classique du genre.

Magistrat et humoriste, pionnier de la science-fiction fantaisiste, il manie l'humour pince-sans-rire et l'imagination décalée.

Poète de la « Vie de bohème », il immortalise la jeunesse artistique pauvre et joyeuse de Paris, inspirant l'opéra de Puccini.

Enfant terrible du romantisme, il chante la passion et le désenchantement dans une poésie lyrique vibrante et un théâtre fantaisiste.