L'« Insurgé » de la Commune, il écrit sa rage contre l'oppression familiale et sociale dans « Jacques Vingtras ».

Romancier du Nord, il décrit la vie rude des ouvriers et des contrebandiers flamands avec un réalisme puissant et une compassion chrétienne.

Grand poète belge, il chante la puissance des « Villes tentaculaires » et l'énergie du monde moderne dans un lyrisme social exalté.

« Prince des poètes », il met la musique au cœur du vers. Sa vie de bohème oscille entre le vice et la prière, chantant la mélancolie avec nuance.

Père des « Voyages extraordinaires », il fait rêver le monde en mêlant l'aventure géographique à la science.

Forçat devenu chef de la police, sa vie légendaire inspire Vautrin et Jean Valjean, incarnant la naissance de la police moderne.

Poète stoïcien, il chante la solitude du génie et le silence de Dieu, exaltant l'honneur et la souffrance muette face à une société matérialiste.

Maître du symbolisme et du fantastique cruel (« Contes cruels »), il méprise le matérialisme bourgeois avec idéalisme.

Poète maudit du Moyen Âge, voleur et pendard, il chante la mort et le temps qui fuit dans une langue d'une modernité bouleversante.

Architecte visionnaire, il restaure Notre-Dame et Carcassonne, inventant le néo-gothique et théorisant l'architecture moderne.

Plus grand poète latin, il chante la fondation de Rome dans l'« Énéide » et la beauté de la nature dans ses « Bucoliques », modèle de la poésie classique.

Il révèle le « Roman russe » (Tolstoï, Dostoïevski) à la France, prônant un retour à l'idéalisme contre le naturalisme zolien.

Roi des Lumières, il combat le fanatisme et l'injustice par l'ironie. Auteur de « Candide », il défend la tolérance.